« 6000 personnes dans la file »
26/07/2021 Bonjour à toutes et à tous,
Paraît-il que ce jour-là il y avait au moins 6000 personnes dans la file d’attente.
6000 personnes qui s’entassaient durant des heures dans l’attente de recevoir leur injection.
Le tour de passe-passe du gouvernement a fonctionné.
Tous les jeunes qui n’ont pas voulu sacrifier leurs vacances se sont rués sur les centres de vaccination pour obtenir le pass salvateur.
On ouvre des vaccinodromes, rien que le mot fait peur.
Ce mot qui, sinistrement, résonne comme Vélodrome d’hiver…
Et l’armée vaccine à tour de bras, parce que ces fonctionnaires-là coûtent moins cher que de faire intervenir du personnel de santé.
Alors je vous laisse imaginer si dans la file il y a quelques personnes porteuses du virus.
Et pendant ce temps-là, on impose des normes de 50 personnes maximum dans les restaurants, salles de sectacles, cinémas, festivals…
Bon, je ne vais pas vous faire un dessin, donc plus les gens se précipitent pour se faire vacciner, plus ils se concentrent et plus… le virus circule.
D’où bien sûr une recrudescence des cas positifs comme constaté actuellement.
Ce qui bien sûr est récupéré par le gouvernement pour sa propagande.
Ne pas perdre de vue quand même l’idée que le vaccin ne vous épargnera pas la maladie, juste d’en développer une forme grave.
Et que ça ne protégera pas du coup vos proches non plus.
Je précise, parce qu’apparemment ce n’est pas clair pour tout le monde.
Donc on vaccine à tour de bras de partout en France, ah oui, l’exception culturelle sanitaire française sans doute…
Ben sinon c’est test et re-test pour celles et ceux qui ne veulent pas se conformer à la vaccination.
Ou privation de restaurants, cinés, théâtres, festivals…
A moins que… l’on ne redécouvre les bals sur la place publique ou les concerts dans les kiosques, les pique-niques dans les jardins publics ?
Et les projections de cinéma en plein air, les ginguettes, ça ne vous plaisait pas, vous ?
Et les conteurs de rue, les saltimbanques de quartier, les musiciens de placettes, vous n’aviez pas imaginé revenir à la vraie vie, hein ?
Celle où finalement tout le monde retrouve tout le monde dehors pour faire la fête !
Tiens, Tout le monde dehors, ça me rappelle le bon temps…
Bien à vous,
Isabelle